Faute d’accord, un arbitre trancherait. Les plus gros groupes de presse australiens, News Corp et Nine Entertainment, ont estimé que ces compensations devraient s’élever à des centaines de millions de dollars par an. Google et Facebook, soutenus par le gouvernement américain, ont affirmé que ce projet saperait leur modèle d’entreprise et le fonctionnement même d’internet. « Les Etats-Unis ne devraient pas s’opposer à une proposition australienne créative qui renforce la démocratie en exigeant des sociétés de la tech qu’elle soutiennent la presse libre. Ils devraient plutôt la copier », a conclu Brad Smith.